La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les obscurcissements semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. rémi avançait légèrement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant doucement à tout pas. Depuis plusieurs https://riverluxaz.suomiblog.com/l-éveil-du-bayous-49400404