Le manoir se dressait, asservissant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les sentiers envahies par les ronces, une constitution de verre et métallique résistait encore au générations : une serre oubliée, occulte postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://augustvxuql.bloggactivo.com/33061715/la-date-figée