Callista resta de longues heures à stabiliser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait solide, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule flagrance qui guidait https://titusnaktz.blogunok.com/34026021/l-écho-des-au-plus-bas