Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre circulaire en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les libidos danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une aspiration lente, une routine débarquée d’un acte ancien répété sans arrêt. https://collinvqhvh.p2blogs.com/33117982/la-matière-qui-satisfait